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PROTOXYDE D’AZOTE

En octobre, à Vigneulles-lès-Hattonchâtel, un ado de 15 ans a été retrouvé mort, près du stade de foot. Deux jeunes en quelques mois. « Le premier consommait du protoxyde d’azote dans un contexte festif, le deuxième avait une pratique addictive et isolée », nous explique Bruno Frémont, médecin légiste à Verdun qui a autopsié les deux corps.

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Alors que la question de la dépénalisation du cannabis défraie régulièrement la chronique, voici 15 raisons, de ne pas donner un signal d'innocuité fallacieux à notre jeunesse:

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A l'occasion du débat sur la dépénalisation du cannabis qui agite régulièrement la scène médiatique, Patrice Tran Ba Huy, professeur de Médecine à la Faculté Saint-Louis-Lariboisière, membre de l'Académie nationale de Médecine et président de la société française d'ORL, explique quelles sont les redoutables conséquences sanitaires qu'amplifierait sans nul doute pareille décision. Lire l'article.

Létreinte de Soeur Elvira, la "soeur des drogués", Edition des Béatitudes, mai 2014.

Voici la biographie intégrale de Soeur Elvira. Des pages d'une grande humanité qui nous font comprendre ce que sont les centres d'abstinence.

C., la face noire de la blanche.de Lolita SENE, Editions Robert Laffont, Mars 2015.

À travers le personnage de Juliette, Lolita Sene raconte ses années d'addiction à la cocaïne. De sa province natale à Paris ou elle travaille dans l'événementiel, du monde euphorique de la nuit aux soirées en appartement, de son cercle d'amis à ses histoires d'amour, Juliette rencontre de la cocaïne partout. Soutien factice de la confiance en soi, celle-ci s'est considérablement banalisée. Comme les autres, Juliette sombre dans la dépendance.C. montretoute la détermination qu'il faut pour s'affranchir de cette drogue dure et redonner un sens à sa vie.

Un livre que parents et adolescents doivent lire pour déjouer les pièges de la drogue.

 

Alors que le pojet de dépénalisation du cannabis revient régulièrement sur le devant de la scène, une mère de famille tire la sonnette d'alarme.

Voir l'article de presse sur ce fléau.

 

 


Une cigarette de cannabis = 7 cigarettes de tabac , à cause de la teneur en goudron et de la bronchodilatation, souligne le docteur CHAMAYOU dans sa thèse.

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Regardez autour de vous. Vous serez étonnés de voir que nombre de jeunes sont capables de boire trois ou quatre verres d'alcool sans être le moindrement "pompettes". Pourquoi? Parce qu'ils ont du cannabis dans le sang (stocké 30 jours dans les graisses) et qu'il leur faut beaucoup plus d'alcool qu'une personne sans cannabis pour en ressentir les mêmes effets. D'où la consommation d'alcools forts...

Une nouvelle année commence. Continuons, intensifions notre combat contre le fléau de la drogue. Nos enfants
doivent pouvoir se déplacer, étudier, se distraire, voyager, sans être la proie de ceux qui ne cherchent qu'à les
détruire. Continuons, sans nous lasser, à leur donner des arguments qui leur permettent de refuser la drogue. Aidons les en la refusant pour nous-mêmes. Ne nous laissons pas prescrire des somnifères, des antidépresseurs, des excitants, alors que nos difficultés, réelles, douloureuses d'aujourd'hui seront dans quelques mois dépassées. Donnons leur l'exemple. Rien ne peut être aussi fort pour eux que la valeur d'exemple. N'ayons pas peur de quelques nuits sans sommeil, de décalage horaire, d'affronter la vérité, elle seule ne passera jamais. Elle seule nous donnera, un jour ou l'autre, raison d'avoir su la dire. Pour nos enfants nous en avons la force. Nous savons tous que rien ne peut-être acquis sans un effort quotidien. Gravir à pied un sommet procure un immense plaisir. Traverser le pacifique à la rame, vaincre la peur, la solitude, nos jeunes ne s'y trompent pas, ils l'ont en point de mire. Suivre le chemin de l'effort élève vers l'estime de soi, le respect et l'amour de l'autre. Un beau programme à développer pour chacun d'entre nous.

Marie-Christine d'Welles

Ce qui fait le charme de notre adolescent, ce sont ses changements, ses excès, sa vitalité, son enthousiasme.
S’il prend des drogues, cette joie de vivre disparaîtra et sera remplacée par des comportements qui deviendront
peu à peu tellement insupportables que nous ne reconnaîtront plus notre enfant. Ce n’est pas avec une drogue psychiatrique qu’il retrouvera sa joie de vivre et le plaisir de s’impliquer dans ce qu’il aime. Ces poisons de l’esprit finiront par dégrader sa personnalité, détruire ses aptitudes et réduire à néant sa conscience du bien et du mal. Nous devons l’aider à comprendre que pour conquérir l’estime de soi-même, la première condition est une vie sans drogue.

Marie-Christine d’Welles

Les parents ont le devoir d'aider leurs enfants à trouver un équilibre intérieur et à acquérir une autonomie de décision.
Que nos enfants aient une jeunesse hésitante et confuse c'est la preuve qu'ils ont besoin de nous. Qu'ils s'égarent
parfois sur les difficiles chemins de l'autonomie, c'est la preuve de leur adolescence. Ils doivent pouvoir s'appuyer sur notre confiance en eux et sur notre amour. Pour qu'un jour, chacun devienne, à son tour, pleinement responsable de lui-même, et qu'il vive heureux, dans le respect de tous les hommes.

Marie-Christine d'Welles

Une campagne anti-tabac, accompagnée de recettes miracles, a envahi la France. Vous-mêmes, vos enfants, vos
parents et amis ont pu donner libre court à toutes les approbations ou critiques sur les importantes informations
diffusées. Nous avons tous compris que ces "criminels'" de fumeurs vont enfin être punis. Ouf ! J'ai même entendu dire qu'il arrivait sur le marché une toute nouvelle pilule miracle à prendre à la place de la cigarette pendant les heures de travail. Cette nouveauté, fabriquée par un excellent laboratoire ne peut, c'est dommage, être donnée aux moins de 18 ans car, parait-il, ses effets secondaires sont et nombreux et terrifiants. Mais rassurons-nous, le Rimonabant, une autre pilule extra, réservée aux obèses et qui possède des effets indésirables tels que, anxiété, dépression, nausées, vertiges etc... sera d'ici peu donnée à nos adolescents. Un magazine féminin m'apprend que cette grande avancée pharmaceutique s'oppose à tous les effets du cannabis ! Et si nous en doutions ?

Marie-Christine d'Welles

Tous les parents qui ont des enfants consommateurs de drogue ont pu constater qu'ils sont tristes, qu'ils ont perdu le goût de l'effort, qu'ils n'ont plus de volonté et qu'à cause de leurs fautes, ils perdent l'estime d'eux-mêmes.

Alors, pourquoi mon enfant se drogue, me direz-vous ?

Parce que, même si les lendemains sont difficiles, durant un instant, la drogue lui a donné de satisfaire tous ses désirs. Le prix à payer, pour qu'il retrouve la joie solitaire de s'admirer lui-même, sera lourd de conséquences : la nécessité de reprendre de la drogue.

La remontée sera toujours longue et douloureuse et demandera, justement, effort et volonté. Ecoutons les poignants témoignages de ceux qui se sont laissés prendre au piège et ont connu cette descente vertigineuse qui va du paradis artificiel à l'enfer de la drogue. L'abstinence, seul chemin de reconstruction est indispensable, long et pénible.

En famille, reprenons en écho cette petite phrase, prononcée haut et fort par un élève de cinquième devant ses camarades : " Moi, je crois que c'est plus facile de jamais en prendre que de l'arrêter. "

Marie-Christine d'Welles

 Cest quoi la droguede Marie-Christine d'Welles, Editions Jean-Cyrille Godefroy, septembre 2013.

Ce livre est un formidable outil pédagogique, accessible à tous.

Cet ouvrage permet de diffuser une information objective et scientifique,  de trouver les données, les arguments et les informations essentielles sur la drogue. Il fournit à tous les parents et aux adolescents, abstinents ou consommateurs, des connaissances fiables et scientifiques.

Ce texte est le meilleur support actuel pour communiquer sur le sujet au sein de la famille



I-Moyenne-7377-le-dossier-noir-du-cannabis 2de Serge Lebigot, éditions Salvator, octobre 2013.

Régulièrement, la question de la légalisation du cannabis revient au devant de la scène, déclenchant des polémiques forcenées.Mais la plupart du temps, on en vient toujours à nier ou minimiser les effets de cette drogue, qui ne sont pas anodins. Avec conviction et à l'aide de nombreux témoignages, Serge Lebigot s'insurge contre cette illusion dangereuse.


Il explique avec pédagogie aux éducateurs et parents combien cette herbe peut nuire à la santé de nos jeunes...

 

etsionparlait

de Marie-Christine d'Welles, Editions Presses de la Renaissance, janvier 2001.

Loin des analyses sociologiques et psychologiques sur le monde de la drogue, ce livre révèle, de manière crue - comme ils l'expriment entre eux -, ce que les jeunes ressentent face à la drogue, omniprésente dans leur vie. Qu'ils soient en cinquième ou en terminale, ils ont accepté de parler librement. Il est important d'écouter ce qu'ils ont à dire. Une excellente occasion d'en parler avec eux.

 

de etsilebonheur Marie-Christine d'Welles, Editions Presses de la Renaissance, novembre 2002

Dans sa lutte incessante contre la drogue, Marie-Christine d'Welles a rencontré plus de deux cent mille personnes lors de ses conférences dans toute la France. Elle a compris que tous veulent une chose pour eux-mêmes et pour ceux qu'ils aiment : le bonheur.

Elle est ainsi partie à sa recherche auprès de personnes qui, par leur vie, leur métier, leur passion, semblent le posséder ou savent l'offrir. A partir d'une réflexion sur ce qui lui procure du bonheur, elle a rencontré des gens aussi différents qu'un couvreur-zingueur, un luthier, un photographe...

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drogue 30ans-apresde Claude Olievenstein, Editions Odile Jacob, octobre 2000.

Trente ans que le célèbre médecin C. Olievenstein accompagne des toxicomanes et les aide à " décrocher ". Dans cet ouvrage, il nous parle de son travail, de ses rencontres, de l'évolution de la toxicomanie et de sa prise en charge. Il offre notamment un regard très critique sur les politiques de traitement à base de substitution, qui ne résolvent selon lui en rien le problème de la toxicomanie.

Cris de jeunesde Guy Gilbert, Editions j'ai lu, février 2001

«Fends le coeur de l'homme et tu y trouveras toujours un soleil.» Ce proverbe arabe, Guy Gilbert s'en est fait une règle de conduite. Jamais sa confiance envers les jeunes ne s'est démentie.Qu'ils soient drogués, victimes de la société et de sa violence, délinquants des banlieues déjà incarcères ou «sauvageons» en devenir, tous ces gosses méritent sauvetage. Car personne n'est perdu, personne n'est irrécupérable.

Nous remarquons que beaucoup de parents veulent toujours plus d'informations sur les produits, les conséquences exactes de leur consommation... Ils voudraient voir des photos, comprendre comment les drogues perturbent l'organisme, l'impact exact sur le cerveau (comme si l'être humain n'était qu'un cerveau comme on voudrait nous le faire croire)... Cette démarche intellectuelle est tout à fait légitime mais elle a pour conséquence de nous noyer dans des détails tout en nous éloignant de notre objectif : la prévention.

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Pour apprendre à nos enfants à refuser la drogue nous devons leur dire la vérité. Pour que notre enfant, ou notre adolescent, ou notre jeune adulte écoute et croie ce que nous, parents, avons à leur dire, nous devons obligatoirement être crédibles à ses yeux. Aujourd'hui, des informations contraires les envahissent par la publicité, les médias et divers autres canaux. Alors pourquoi notre enfant choisirait-il de nous écouter et surtout de nous croire ?

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Un bébé dans les bras de sa mère nous émeut. Un adolescent qui se suicide est un fait divers pour la presse, une catastrophe pour ses parents.

Entre les deux il y a eu très souvent une prise de drogue psychotrope.

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Depuis la création d'Enfance Sans drogue, il y a bientôt 15 ans, nous avons acquis une excellente connaissance du '' terrain ''. En effet, nous avons reçu une multitude de témoignages de parents et de jeunes sur les conséquences de la consommation de drogue et sur les motivations qui poussent les adolescents à prendre de la drogue.

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L'estime de soi n'est pas un titre glorieux qui nous attire une vaine estime des autres. Elle ne se mesure pas en manifestations tapageuses dont peut s'enorgueillir l'ambitieux. A l'opposé d'une valeur réservée à une élite, achetée à coup de passe droit, de relations, de publicité, de mensonges, de coups tordus, de malversations, c'est un sentiment tranquille et personnel.

Ceux qui prennent de la drogue le savent et le toxicomane encore plus : ils ont perdu l'estime d'eux-mêmes.

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Tous ceux qui sont victimes de la drogue pensaient être à l'abri. La majeure partie des informations que l'on véhicule autours des jeunes sont fausses car le marché de la drogue leur est destiné. Ces informations proviennent de personnes qui vendent, ou qui consomment des drogues et qui en font la publicité, soit pour justifier leur comportement, soit parce que la drogue leur rapporte beaucoup d'argent.

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En France, 50% des 15-19 ans consomment régulièrement des drogues psychotropes (cannabis, poppers, tranquillisants, amphétamines, antidépresseurs, benzodiazépines, cocaïne... ) Cette consommation est la plus élevée d'Europe et nous avons le taux de suicide, des 14 à 24 ans, le plus élevé du monde ! Nous pouvons dire que c'est une véritable escroquerie, à laquelle collaborent, avec plus ou moins de connivence, les professionnels de santé et de nombreux parents.

Nos enfants vont mal parce qu'ils se droguent et on veut nous faire croire qu'ils se droguent parce qu'ils vont mal.

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Il s'agit d'un phénomène nouveau. Les jeunes consomment de plus en plus d'alcool pour augmenter les effets des drogues. On dit de l'alcool que c'est un potentialisateur.

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Comment meurt-on de la drogue ?

SUICIDE ! SUICIDE ! SUICIDE ! SUICIDE ! SUICIDE !

[...] On constate que le taux de suicide dans notre pays est l'un des plus élevé de ceux de l'Union européenne. La France a le taux le plus élevé pour les jeunes de 15 à 24 ans. Le suicide est même la première cause de décès chez les Français âgés de 15 à 24 ans. [...] disait déjà le Premier Ministre Jean Pierre Raffarin, le 17/04/03, dans une lettre de mission à un de ses ministres.

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C'est le phénomène du relargage. Quand on consomme du cannabis, le THC passe dans la circulation sanguine. C'est ce qui donne les effets recherchés par le consommateur. Ce THC va ensuite être stocké dans les graisses de l'organisme et sera relargué en cas de stress ou de peur. Beaucoup d'accidents de la circulation peuvent être expliqués ainsi.

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Le mal être, la dépression, le suicide, sont très souvent la conséquence de consommation de drogues psychotropes. On estime aujourd'hui à 70% le nombre de lycéens consommateurs de drogue de manière plus ou moins occasionnelle. Beaucoup vont mal à cause de leur consommation. Lors d'une consultation chez le médecin, ce dernier devrait demander à son patient s'il est consommateur de drogue. Sa dépression, son mal-être... s'expliquent par la consommation. Au lieu de prescrire des anti-dépresseurs ou d'autres drogues légales, le médecin devra conseiller à son patient de commencer par arrêter sa consommation de drogue.

En ajoutant des antidépresseurs, benzodiazépines, ou somnifères le consommateur sera bien entendu de plus en plus drogué et ira de plus en plus mal jusqu'à se retrouver en grave dépression et en psychiatrie. C'est ce qui arrive de plus en plus fréquemment aujourd'hui.

Nous entendons de plus en plus parler d'agressions entre jeunes, entre jeunes et adultes, de violence physique et verbale au sein des familles, des établissements scolaires, de la société... La drogue entraine la violence.

Enfance Sans Drogue demande qu'il y ait une recherche systématique de drogue légale et illégale effectuée dans tous les cas d'agressions entre jeunes ou entre individus, ainsi qu'à la suite de tentative de suicide et suicide, afin de mettre à jour ce lien entre violence et consommation de drogue.

La publication des résultats permettra de prendre conscience de la situation de notre pays.

Il suffit de ne plus consommer de drogue pour en être guéri !

Ce n'est ni une maladie, ni une fatalité.

Seule l'abstinence doit être prescrite.

Aucune action ciblée des drogues psychotropes n'existe vraiment et les effets excitants, sédatifs et hallucinogènes des produits s'entremêlent selon l'importance de la dose et la sensibilité de chacun. Ils ont tous de multiples effets physiques et mentaux imprévisibles et dangereux, appelés "effets secondaires" par les fabricants.

"C'est quoi la drogue?" de Marie-Christine d'Welles

Les vitamines et les minéraux sont indispensables pour le corps au même titre que l'eau et la nourriture.

Les drogues brûlent très rapidement un grand nombre de vitamines et de minéraux, ceux qui prennent de la drogue ont de plus en plus de mal à combattre les infections et autre maladies.

Les toxicomanes souffrent beaucoup de crampes car ils n'ont plus assez de minéraux.

Nous trouvons des minéraux dans notre alimentation, dans l'eau, mais les consommateurs de drogue en ont besoin rapidement d'une grande quantité. Nous pouvons les aider en leur donnant des vitamines et des minéraux naturels.

La scarification est en augmentation et suit la courbe de la prise de drogues psychotropes.

Elle est un des nombreux effets secondaires de drogues légales et illégales.

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Il s'agit d'un phénomène nouveau. Les jeunes consomment de plus en plus d'alcool pour augmenter les effets des drogues. On dit de l'alcool que c'est un potentialisateur.

L'alcool étant légal et accepté par les parents, les jeunes montrent facilement les bouteilles et cachent leur consommation simultanée de drogue. C'est ainsi que la majorité des parents pensent que les jeunes consomment beaucoup d'alcool. Ceci est vrai mais ils ne savent pas que dans la quasi-totalité des cas, les jeunes consomment alcool et cannabis ou alcool et autre drogue.

Le Dr Chamayou, auteur d'une thèse "Les dangers du haschich : les dernières découvertes scientifiques sur le cannabis" explique : "Le rat auquel on donne du cannabis se met à boire de l'alcool. Sans prise de cannabis, il refuse d'en boire."

Le cannabis ouvre la porte à une forte consommation d'alcool.

Les dernières constatations effectuées par l'Observatoire Français des Drogues et des Toxicomanies (OFDT) ont montré que la France figurait parmi les pays les plus consommateurs de produits stupéfiants en Europe et qu'il était indispensable que ces comportements, qui ont de graves conséquences et touchent majoritairement les jeunes âgés de 12 à 25 ans (69% des usagers quotidiens), trouvent une réponse adaptée.

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Ces jeunes, filles et garçons, ignorent totalement qu'ils mettent leur vie en grand danger et provoquent un veillissement prématuré de leurs organes : cerveau, foie, poumons, coeur, reins.
Il existe aussi de nombreux cas de pertes visuelles irréversibles dues à une dégradation des cellules photoréceptives de la rétine.

En savoir plus sur les poppers

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Quiz

Le tabac est-il une drogue psychotrope ?

  • Oui
  • Non

non

Le fumeur de tabac, et non le toxicomane, peut mener une vie normale et reste en pleine possession de ses moyens. C'est un produit toxique, nocif dont tout le monde connait les effets désastreux sur le plan de la santé. C'est pourquoi il doit faire l'objet d'une véritable prévention dont le seul message sérieux est "consommation zéro".
Il n'est pas pour autant une drogue psychotrope (qui agit sur l'esprit). L'organe International de Contrôle des Stupéfiants n'a pas intégré le tabac à sa liste de drogues psychotropes. Il est important de dire la vérité aux jeunes et de réserver le mot drogue pour les drogues psychotropes. Trop souvent on entend parler des "drogués du travail", des "drogués de l'Internet"... Cet abus de langage contribue largement à banaliser les drogues psychotropes.

Une semaine après avoir consommé du cannabis, reste-t’il des traces de cette consommation dans l’organisme ?

  • Oui
  • Non

oui

La demi-vie d'une substance active est le temps qu'il faut à un organisme sain (qui n'en a jamais consommé) pour éliminer la moitié de la substance. Dans le cas du cannabis, la demi-vie est de 96 heures, soit 4 jours. Cela signifie qu'au bout de 4 jours, l'organisme a éliminé 50% de la dose initiale. 4 jours plus tard, il restera 25% du produit... Au bout de 28 jours, le cannabis sera totalement éliminé chez le sujet qui n'est pas un consommateur régulier. Chez un consommateur régulier, il sera possible de trouver des traces de THC dégradé 40 jours ou plus après la dernière prise.
Selon le Dr Chamayou, il faut 18 mois pour un lavage total de cannabis.

Confieriez-vous votre voiture à votre enfant sans qu’il ait appris à conduire ?

  • Oui
  • Non

non

Aucun parent ne laisserait sa voiture à son enfant qui n'a pas appris à conduire. De même il serait inconscient de laisser son adolescent sortir sans lui avoir appris ce qu'est la drogue. Actuellement, la disponibilité des produits est telle que l'on peut s'en procurer dans tous les lieux fréquentés par les jeunes (établissements scolaires, soirées -diners de classe, rallyes...-, clubs sportifs...). Les parents doivent se former objectivement et scientifiquement sur les produits pour pouvoir éduquer leurs enfants sur la drogue et leur fournir des arguments pour la refuser. Rappelons que la toxicomie, ça n'arrive pas qu'aux autres!

Est-ce que le Poppers, l’Air Sec, l’Eau Ecarlate sont des drogues ?

  • Oui
  • Non

oui

L'AIR SEC : Le protoxyde d'azote et autres gaz sous pression ont aussi des effets hallucinogène. En quelques secondes ils produisent une excitation, des étourdissements, un rire idiot, des pertes de connaissance et, par manque d'oxygène, des lésions du système nerveux central. En savoir +


LES POPPERS : Les nitrites volatils ont des effets similaires à ceux du protoxyde d'azote. Ils peuvent en plus provoquer des attaques de panique, des palpitations et des maux de tête. Ils sont aussi responsables de morts par anoxie. En savoir +


L'EAU ECARLATE : Les détachants sont des dérivés de l'éthylène. Ce sont des hallucinogènes mais leur effet est plutôt calmant. Ils provoquent des atteintes neurologiques (surdité, tremblements...) et intellectuelles (démence.)

Nos médecins généralistes sont-ils concernés par la toxicomanie ?

  • Oui
  • Non

oui

Les médecins généralistes sont les premiers témoins de la toxicomanie. Pour en savoir plus cliquez ici.